photo personnelle
L'homme ne s'aperçoit pas qu'on l'étouffe,
mais en plus il revendique sa famille,
son travail, son système politique
et la plupart de ses prisons
comme autant de formes
"d'expression de sa personnalité"...
.
Bernard Werber
"L'empire des anges"
.
prise de tête , non??
RépondreSupprimer...sans avoir la frite!
RépondreSupprimerMoi je vois une tête d'enfant qui proteste...un enfant qu'on a bien "cadré" comme on dit...
RépondreSupprimerDans le moule, dans la semoule et peut-être enfin sommes ce que nous pensons être.
RépondreSupprimerMais, tes citations choisies sont plus pertinentes et nous aident à la réflexion.
Bien amicalement,
à lui de faire péter les cadres!!
RépondreSupprimerCe que connaît l'homme est sa sécurité. Il faut beaucoup de courage pour en sortir. A moins que des événements en dehors de sa volonté l'y pousse, et il regrette de ne pas l'avoir fait plus tôt
RépondreSupprimer.
Sur mon blog, le carnaval de Bâle. le carnaval qui, au Moyen Age aidait les homme à soulever la soupape, avant qu'elle n'explose.
Un petit coucou de Lausanne en Suisse.
Oui, c'est ça...nous aimons nos prisons parce qu'elles nous apportent la sécurité...et parce que la liberté, sans doute, nous fait peur !
RépondreSupprimerEt il faut des circonstances exceptionnelles pour nous la faire quitter, cette sécurité emprisonnante !
La Carnaval, c'était, au départ, le moment où les hiérarchies sociales s'effaçaient , le moment où le bouffon pouvait être roi, et l'esclave le maître...
Moment subversif mais temporaire: on retrouvait vite la norme...
Je sais qu'en Suisse et en Allemagne, le Carnaval a gardé bien plus d'ampleur (et de sens) que chez nous...
J'irai voir tes photos, merci.