Le monde n'a pas été créé jadis à un moment précis.
La création se fait à chaque instant, pour chaque être vivant.
Elle se manifeste aussi dans le cycle des saisons
qui fait tourner la roue de l'année.
C'est un stade du cycle, qui conduit à la renaissance.
Après la mort, l'âme reste dans le "pays de l'été",
au pays de l'éternelle jeunesse,
où elle est rajeunie et rénovée
pour préparer son retour.
Bientôt elle quittera les ors de l'été
pour les eaux du Léthé, le fleuve d'oubli.
Ainsi lavée, l'âme peut renaître.
Sans mémoire.
La renaissance est un immense cadeau de la Déesse,
qui est manifeste dans le monde réel.
La vie et le monde ne sont pas séparés de la Déesse,
la vie est une grande merveille.
Et la mort est sa soeur jumelle.
Elle n'a rien d'effrayant.
Seule disparaît l'enveloppe physique,
chrysalide de l'âme avant une nouvelle vie.
Belle phrase de Victor Hugo qui savait beaucoup de choses....
RépondreSupprimerje confirme ! :-)
RépondreSupprimerQuand je mourrai, si on a la chance de choisir ses potes à ce moment-là, j'ai déjà préparé une liste : Totor (Hugo), Loulou (Pasteur), Audrey (Hepburn) et Nanard (de Vinci). Y'en a beaucoup d'autres mais la liste est longue...
RépondreSupprimerBon, ben, étant donné que ceux-là me plaisent bien aussi (avec un bémol pour Pasteur...et par contre un grand enthousiasme Pour Victor Hugo et De Vinci), on devrait se retrouver plus ou moins dans le même "clan"...Epamine.
RépondreSupprimerCeci dit, je ne suis pas pressée ! :-)))
Chic, chic, on sera copine de l'autre côté aussi !
RépondreSupprimerPeut-être aura-t-on le grand plaisir de se rencontrer de ce côté avant le grand départ...
je préférerais, en effet !
RépondreSupprimerSûr qu'on aurait plein de choses à se dire...