Le mont Saint-Michel doit son nom au terrible combat
qui opposa l’archange à Draco Magnus.
En Bretagne, on raconte en effet
que l’affrontement commença sur le mont Dol
et s’acheva sur le mont Tombe,
l’actuel mont Saint-Michel.
que l’affrontement commença sur le mont Dol
et s’acheva sur le mont Tombe,
l’actuel mont Saint-Michel.
Aubert, l’évêque d’Avranches,
qui avait assisté au combat,
fut peu après visité en songe par saint Michel.
Celui-ci lui ordonna de lui construire un autel
sur les lieux mêmes de sa victoire contre le mal.
qui avait assisté au combat,
fut peu après visité en songe par saint Michel.
Celui-ci lui ordonna de lui construire un autel
sur les lieux mêmes de sa victoire contre le mal.
Mais le pauvre évêque se crut devenu fou,
et il n’obéit pas à son rêve.
et il n’obéit pas à son rêve.
Saint Michel revint une deuxième fois
sans plus de succès.
sans plus de succès.
Furieux, il décida la troisième fois
de laisser une preuve de son passage :
un petit trou circulaire dans le crâne de l’évêque.
de laisser une preuve de son passage :
un petit trou circulaire dans le crâne de l’évêque.
Ce dernier fit alors construire
un oratoire en forme de grotte,
autour duquel fut ensuite bâtie
la cité du mont Saint-Michel.
un oratoire en forme de grotte,
autour duquel fut ensuite bâtie
la cité du mont Saint-Michel.
On peut aujourd’hui encore,
voir le crâne troué de l’évêque
dans la basilique d’Avranches.
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voir le crâne troué de l’évêque
dans la basilique d’Avranches.
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Bonjour La licorne ! Effectivement cette légende continue d'expliquer le mont Saint-Michel et c'est très bien ainsi ! Merci de nous conter Saint-Michel
RépondreSupprimerBon dimanche et à bientôt
Tout ça parce qu'un pauvre bougre a été trépané? C'est une jolie histoire, en tous cas !
RépondreSupprimerCe que le texte ne précise pas, c'est que la troisième fois, Saint-Michel a "pointé son doigt" sur le front d'Aubert (histoire de bien lui "enfoncer dans le crâne" ce qu'il devait faire) et que c'est la trace de cet index "autoritaire" qu'on verrait sur le crâne conservé et exposé à Avranches !
RépondreSupprimerFaut pas plaisanter avec les archanges !