Nos solidités, nos savoirs, nos volontés
ne tiennent pas la route.
Tôt ou tard, elles cassent
– d’autant plus facilement
qu’elles sont crispées sur elles-mêmes.
Mais un duvet de moineau ou l’aigrette du pissenlit,
ça ne se brise pas.
C’est tellement léger
que ça ne peut pas connaître cette mésaventure.
.
.
"Le chêne et le roseau".
RépondreSupprimerC'est ça... :-)
SupprimerD'où la nécessité de ne point avoir de rigidités, de croyances, de certitudes....Plus on est rigide et plus on est fragile. C'est une attitude que j'ai comprise depuis un certain temps.
RépondreSupprimerL'indispensable légèreté de l'être... :-)
RépondreSupprimerAmitiés.
Mmmm comme c'est bon ce nectar des mots-coeur de Christian Bobin...
RépondreSupprimeril faut savoir se plier aux moeurs du jour
RépondreSupprimer