dimanche 2 mars 2014

UN AVEC LA VIE

photo personnelle

Etant pleinement un avec la vie,
attraction et répulsion s’effacent.
Tout est vide de passé, de mémoire.
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Publié par La Licorne

6 commentaires:

  1. Fifi2/3/14 18:54

    Tu n'as jamais été tentée d'afficher tes photos dans un format plus grand ?
    Je les agrandis systématiquement et je les trouve magnifiques !

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  2. La Licorne2/3/14 23:21

    J' y ai déjà pensé, à vrai dire, mais cela demanderait de revoir toute la mise en page du blog...et je n'en ai pas trop envie...
    je crois que vous allez continuer à cliquer pour l'instant... :-)
    Par contre, je publie des photos "en grand" , une fois par mois, sur Defifoto...

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  3. Rick Forrestal3/3/14 04:40

    Beautiful reflection.
    Nicely done.

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  4. flipperine4/3/14 12:06

    le passé il ne faut pas vivre avec

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  5. Anonyme4/3/14 21:14

    Très belle photo ! (la première) N’évoque-t-elle pas immanquablement les très profondes paroles du poète :

    « Est-il d’ici ? Non, des deux
    empires naquit sa vaste nature.
    Plus adroitement ploierait le saule
    quiconque eût d’abord connu ses racines. »

    (Sonnets à Orphée (1922), in Poésie, Rainer Maria Rilke,
    traduction de Maurice Betz, éd. Emile-Paul frères, Paris, 1942.)

    ou encore :

    « Kundiger böge die Zweige der Weiden,
    wer die Wurzeln der Weiden erfuhr.

    Avec plus d’art il courberait les branches des saules,
    Celui qui, des saules, eût appris les racines. »
    Rainer Maria RILKE
    Sonnets à Orphée, I, 6
    —
    Bravo à la poétesse de l’objectif !

    Amezeg

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  6. La Licorne5/3/14 01:15

    Wouah, du Rilke dans le texte !
    "erfuhr" est le passé de "erfahren" qui veut dire apprendre mais dans le sens "éprouver, expérimenter"...ça se traduit donc exactement par:
    "Il courbe les branches du saule avec plus d'adresse encore, celui qui en a "éprouvé" les racines..."

    Ce qui est sûr , c'est qu'on monte aussi haut qu'on est allé profond...à moins que ce ne soit le contraire : on ne descend pas plus profond qu'on n'est monté !

    Bonne nuit, Amezeg !

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