image ici
Lune, tu es mon Soleil,
Soleil, tu es ma Lune.
Je suis d’argent…
… Et moi d’or.
L’un brille, réchauffe, éclaire,
l’autre luit, croît et décroît.
Je t’attends et tu m’espères.
Dans le ciel
les étoiles
parure visible
présence invisible,
nos rayons se croisent
sans jamais se rejoindre.
Et nos faces obscures,
Brûlures ou illusions,
l’Appel du sang contre
l’incandescence du cœur asséché.
Révélation ou aveuglement ?
Du berceau des émotions flottantes
au fardeau des actions flamboyantes,
nous dansons
infiniment
une valse à deux temps.
Seule une éclipse
l’un à l’autre
nous fixe.
Fusion des astres,
attraction des Êtres.
Rencontre éphémère,
Père et Mère.
Mais Anima
d’Animus
est vouée à se défaire.
Alors
pleurant
la mémoire persistante
d’une étreinte passagère,
chacun suit son chemin
de lumière,
je diffuse et tu éclaires.
Soleil tu es ma Lune,
Lune tu es mon Soleil.
.
.
Merci, Tempérance, de ta belle participation !
RépondreSupprimerMême si l'on s'éloigne de la mélodie d'"Au clair de la lune", il aurait été dommage de ne pas partager ton texte !