vendredi 9 avril 2010

HORIZONS

 
photos personnelles


L'air frais des champs, voilà notre vraie place;
il semble que là,
l'esprit de Dieu entoure l'homme de son souffle
et qu'il soit soumis à une influence divine.
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Johann Wolfgang Von Goethe
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4 commentaires:

  1. Au ras des terres
    Souffle le mystère,
    Et tout au bout
    Ciel et boue se confondent
    Le solide s'évapore.

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  2. Comment résister à cette terre qui nous tend les bras. Il y a une sensualité dans les labours, quand cette terre nous découvre son âme endormie, son souffle, son ventre et qu'elle nous incite à prolonger la vie par un ensemencement de ces grands espace. Le parfum d'une terre fraîchement labourée est incomparable. Cette photo me fait penser à tout cela.
    Roger

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  3. Tu parles de la terre comme...d'une femme !

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