que la quiétude.
Loin de mon esprit
la vanité des choses.
Dénué de ressources,
il me reste la joie
De hanter encore
ma forêt ancienne.
La brise des pins
me dénoue la ceinture ;
La lune caresse les sons
de ma cithare.
Quelle est, demandez-vous,
l'ultime vérité ?
Chant de pêcheur,
dans les roseaux, qui s'éloigne...
.
François Cheng
.
.
François Cheng
.
Et le silence retombe, la nuit nous enveloppe tandis que l'eau clapote doucement. Quelle autre vérité espérer, attendre ?
RépondreSupprimerLe "dépouillement" vient avec l'âge...
RépondreSupprimeron aspire à plus d'authenticité, de simplicité, avec le temps, la Paix est là...
RépondreSupprimerJoli blog !