certes les noms gravés sont vieux comme les mots et la parole... mais faut-il pour autant admirer ces débordements qui défigurent souvent certains murs ? je trouve que l'idée d'Hubert, graver dans le sable ou la neige, admettre la fugacité de nos enthousiasmes, admettre la fragilité de nos mots, c'est pas mal non plus !
Oui, Michelaise... Si l'on peut admirer le talent de ceux qui créent et réalisent ces "graffitis artistiques", on ne peut que déplorer qu'ils les inscrivent sur des murs qui ne leur appartiennent pas ! Il s'agit alors d'un manque de respect pour le bien d'autrui et pour le "bien commun" (qui est, bien sûr, le contraire du "Mal propre").
J'écrit ton nom... liberté ! On a aussi retrouvé des graffitis sur les colosses de Memnons (?) , en Egypte, gravés là par ce qui semble avoir été des mercenaire engagés par des pharaons. Gravés dans la pierre, éternel ! A l'époque, on a certainement crié au scandale, vous pensez, graver des mots * étrangers* sur les représentations immenses, de pharaon. Je n'encourage pas, mais ceux-ci ont traversés les siècles.
Observatrice du banal, amoureuse de la nature, lectrice passionnée, poète du dimanche, photographe à ses heures, exploratrice des rêves et... chercheuse de vérité.
Pour voir les photos en "grand", il suffit de cliquer dessus !
Textes
Les textes sont en général très courts,
mais n'oubliez pas de visiter les "liens" (en vert) !
Pourquoi ce blog ?
Dans ce blog tout simple, je cherche à "débusquer" le beau, le merveilleux et le fantastique dans les détails de la vie et à les partager avec vous au travers de photos, de citations et de réflexions personnelles... Un petit coin où le rêve rejoint la réalité et où, parfois, le visible laisse affleurer ...l'invisible.
Contrairement à la plupart des blogs, ce blog n'est pas constitué de billets indépendants les uns des autres.
Chaque billet est lié à celui qui le précède et à celui qui le suit...
De même qu'un mot pris isolément dans une phrase se comprend mais perd beaucoup de son sens, un billet de ce blog lu "seul" perd beaucoup de son intérêt.
Il est donc conseillé de lire la "page" en continuité...
Promenade...sur un fil
Ce blog a été conçu
comme un fil d'Ariane,
une pelote que l'on peut
dérouler ou rembobiner
à son gré, une promenade
d'image en image,
par association d'idées...
La promenade pouvant
se faire aussi à l'envers...
il n'est pas interdit
de retourner en arrière...
et de laisser des commentaires
sur des billets anciens,
et même très anciens.
Le fil
Citation de Satprem
Le vrai système de yoga consiste à attraper le fil de sa propre conscience, ce "fil brillant" dont parlaient les rishis, et de s'y accrocher et d'aller jusqu'au bout.
certes les noms gravés sont vieux comme les mots et la parole... mais faut-il pour autant admirer ces débordements qui défigurent souvent certains murs ? je trouve que l'idée d'Hubert, graver dans le sable ou la neige, admettre la fugacité de nos enthousiasmes, admettre la fragilité de nos mots, c'est pas mal non plus !
RépondreSupprimerOui, Michelaise...
RépondreSupprimerSi l'on peut admirer le talent de ceux qui créent et réalisent ces "graffitis artistiques", on ne peut que déplorer qu'ils les inscrivent sur des murs qui ne leur appartiennent pas !
Il s'agit alors d'un manque de respect pour le bien d'autrui et pour le "bien commun" (qui est, bien sûr, le contraire du "Mal propre").
J'écrit ton nom... liberté ! On a aussi retrouvé des graffitis sur les colosses de Memnons (?) , en Egypte, gravés là par ce qui semble avoir été des mercenaire engagés par des pharaons. Gravés dans la pierre, éternel ! A l'époque, on a certainement crié au scandale, vous pensez, graver des mots * étrangers* sur les représentations immenses, de pharaon. Je n'encourage pas, mais ceux-ci ont traversés les siècles.
RépondreSupprimerMerci Béatrice, je ne connaissais pas ces détails sur les "graffitis" égyptiens !
RépondreSupprimerEncore plus ancien que je le pensais, alors, l'art du "tag" !