la règle est que tout ce qui pourrait sembler négatif
(destruction, pillage...)
doit être évoqué par un terme positif
(progrès, flexibilité, modernisation...).
Rien n'est détruit, tout est "valorisé".
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Armand Farrachi
"Petit lexique d'optimisme officiel"
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Histoire de perpétuer le déni....:)
RépondreSupprimerOui...aujourd'hui, où tout est dans la "com"...les mots "édulcorés" servent essentiellement à faire passer des choses inacceptables...
RépondreSupprimerEt on continue à dormir...à faire comme si "tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes"...et à nier l'état de la planète.
Si l'humanité avait un minimum de bon sens, je dirais qu'il serait salutaire, sinon pour nous, du moins pour la Terre, de bien vouloir taire ce qui nous attends car l'on ne peut à la fois ménager la chèvre et le choux, devant par nécessité, sacrifier l'un pour sauver l'autre.
SupprimerOr si la Terre peut aisément se passer de son cancer, son parasite Humain, quand à lui, ne peut point, malgré tout ses efforts, en faire autant en tentant de se passer de son ultime refuge.
Heureusement, dans ce monde d'aveugles volontaires, ceux osant garder les yeux ouverts ne trouvent point d'oreilles.
Jouant à leur insu le triste rôle de Cassandre.
Pour conclure,
je citerais le titre d'un délicieux ouvrage d'Yves Paccalet, "L'humanité disparaitra, bon débarras".
Je n'ai pas lu l'ouvrage de Mr Paccalet, ouvrage sans doute passionnant...mais je ne sais pourquoi, je n'arrive pas à trouver la disparition de l'être humain "délicieuse"...ni à m'y résoudre stoïquement !
RépondreSupprimerJe me dis que parfois, "toucher le "fond" peut permettre de remonter...
à condition de donner un coup de talon, évidemment !