Si toute l'humanité grouillante des cités déferlait sur nos campagnes ce serait l'enfer garanti. Une seule famille de citadins dans un hameau paisible, c'est déjà difficile à supporter tant les moeurs des uns et des autres diffèrent.
Ce ne sont pas les citadins qui posent problème...mais les villes elles-même. Car je crois, comme Rousseau ( sans toutefois retourner au mythe du "bon sauvage"), que l'être humain a besoin, vitalement, d'espace et de grand air...et surtout d'un contact quotidien avec les éléments naturels.
Observatrice du banal, amoureuse de la nature, lectrice passionnée, poète du dimanche, photographe à ses heures, exploratrice des rêves et... chercheuse de vérité.
Pour voir les photos en "grand", il suffit de cliquer dessus !
Textes
Les textes sont en général très courts,
mais n'oubliez pas de visiter les "liens" (en vert) !
Pourquoi ce blog ?
Dans ce blog tout simple, je cherche à "débusquer" le beau, le merveilleux et le fantastique dans les détails de la vie et à les partager avec vous au travers de photos, de citations et de réflexions personnelles... Un petit coin où le rêve rejoint la réalité et où, parfois, le visible laisse affleurer ...l'invisible.
Contrairement à la plupart des blogs, ce blog n'est pas constitué de billets indépendants les uns des autres.
Chaque billet est lié à celui qui le précède et à celui qui le suit...
De même qu'un mot pris isolément dans une phrase se comprend mais perd beaucoup de son sens, un billet de ce blog lu "seul" perd beaucoup de son intérêt.
Il est donc conseillé de lire la "page" en continuité...
Promenade...sur un fil
Ce blog a été conçu
comme un fil d'Ariane,
une pelote que l'on peut
dérouler ou rembobiner
à son gré, une promenade
d'image en image,
par association d'idées...
La promenade pouvant
se faire aussi à l'envers...
il n'est pas interdit
de retourner en arrière...
et de laisser des commentaires
sur des billets anciens,
et même très anciens.
Le fil
Citation de Satprem
Le vrai système de yoga consiste à attraper le fil de sa propre conscience, ce "fil brillant" dont parlaient les rishis, et de s'y accrocher et d'aller jusqu'au bout.
Si toute l'humanité grouillante des cités déferlait sur nos campagnes ce serait l'enfer garanti. Une seule famille de citadins dans un hameau paisible, c'est déjà difficile à supporter tant les moeurs des uns et des autres diffèrent.
RépondreSupprimerCe ne sont pas les citadins qui posent problème...mais les villes elles-même.
RépondreSupprimerCar je crois, comme Rousseau ( sans toutefois retourner au mythe du "bon sauvage"), que l'être humain a besoin, vitalement, d'espace et de grand air...et surtout d'un contact quotidien avec les éléments naturels.