Nous ne pouvons pas évoluer ou changer réellement,
nous "éveiller" de notre "torpeur"
ou nous libérer de la souffrance,
ou nous libérer de la souffrance,
si nous ne connaissons pas en profondeur
notre fonctionnement ordinaire,
notre fonctionnement ordinaire,
c'est-à-dire notre "état de sommeil" au quotidien :
état de dépendance aux événements
et identification aux humeurs
et aux émotions qui en résultent.
et aux émotions qui en résultent.
Les enseignements majeurs mettent l'accent
sur le fait que nous "dormons",
inattentifs et insensibles
à notre environnement et à nous-même.
Mère le constate ainsi :
"Les gens qui vivent dans la conscience ordinaire
savent très peu ce qui se passe physiquement (...)
Au fond, l'immense majorité des hommes
sont comme prisonniers
sont comme prisonniers
avec toutes les portes et les fenêtres fermées,
alors ils étouffent (ce qui est assez naturel)
mais ils ont avec eux la clef
qui ouvre toutes les portes et les fenêtres,
et ils ne s'en servent pas .
(...)
Il n'y en a pas un sur un million qui sache vivre !
Ils arrivent dans la vie, ils ne savent pas pourquoi ;
ils savent qu'ils ont un certain nombre d'années à vivre,
ils ne savent pas pourquoi ;
ils pensent qu'ils auront à s'en aller
parce que tout le monde s'en va
parce que tout le monde s'en va
et ils ne savent pas non plus pourquoi...
Ils sont nés, ils vivent,
ils ont ce qu'ils appellent des bonheurs et des malheurs,
et puis ils arrivent à la fin, et ils s'en vont.
Ils sont entrés et ils sont sortis sans rien apprendre.
.
C'est vrai que nous somme prisonniers. Très bien choisi ce texte de Mère dans l'océan de sa pensée. Amitiés.
RépondreSupprimerAmitiés à toi aussi... :-)
SupprimerUn constat réaliste de Mère ! Tu sais très bien choisir les textes qui interpellent et font réfléchir.
RépondreSupprimerJe choisis tout simplement ceux qui me "parlent"... :-)
RépondreSupprimerc'est vrai que nous sommes emprisonnés par la société mais nous avons quand même nos idées
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