La joie intense :
se recueillir et se taire.
Parler, c’est disperser.
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Henri-Frédéric Amiel
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jeudi 27 décembre 2012
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- Observatrice du banal, amoureuse de la nature, lectrice passionnée, poète du dimanche, photographe à ses heures, exploratrice des rêves et... chercheuse de vérité.
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Je suis bien d'accord. Le silence me nourrit plus que les paroles.
RépondreSupprimerSavoir se taire, savoir rester à sa place, être bien centré, c'est aussi cela la présence.
Love the lighting, the composition.
RépondreSupprimerNice.
Le must, alterner avec la communication...
RépondreSupprimerLe silence est beau, mais il isole aussi... Je suis comme Manouche!
RépondreSupprimerGine et manouche, il faut comprendre ce "silence" en liaison avec l'article précédent :
RépondreSupprimerce n'est pas le silence pour le silence...c'est le silence qui "protège" les commencements "fragiles" ou les créations nouvelles... :-)