Adaptation très personnelle du poème de Maurice Fombeure "Les écoliers"
Sur la route couleur de pierre En capuchon vert et pointu, Le petit bonhomme d'un air léger Va à roulettes que veux-tu Vers les mystères enneigés.
Il a sous sa cape fluorescente Le vent d'hiver et les flocons du matin, La mousse des bois et les brindilles gelées Des moufles de nuages qui réchauffent les mains Les secrets de la brume et des matins givrés.
J'y ai vu un langage secret dont une partie s'est effacée (est-ce un mauvais signe?) et qui signifie "Maison du bonheur". D comme dessin ici:http://laussibiencachee.blogspot.com/2009/10/pictogramme-secret.html
Claire, je suis allée voir ton "hiéroglyphe moderne"...la ressemblance est en effet troublante ! Ne manque que le sourire... Allez, je le rajoute ! (dessous)
Ce petit dessin me fait faire un grand bon en arrière ; un peu après la guerre, bon nombre d' enfants, en hiver, portaient par dessus leurs habits d'écoliers, une cape, coupée dans les couvertures de laine bleu-marine ou kaki de l'armée. Quant il faisait bien froid, et que nos genoux nus avaient des teintes violacées (c'était rigolo d'appuyer son pouce pour faire un rond tout blanc sur la peau), il suffisait de s'accroupir et nous nous trouvions bien au chaud dans notre cape qui nous servait de tente.
Mélusine cachant le printemps sous sa cape, écolier joyeux ou maison du bonheur au grand sourire, écolier d'après-guerre aux genoux violacés, bécassine extra-terrestre ou mutant de la planète Zork...
Merci pour vos idées "dé-capantes" ! Ce petit lutin vous a bien joliment inspirés...qu'il en soit remercié !
Adaptation très personnelle du poème de Maurice Fombeure
RépondreSupprimer"Les écoliers"
Sur la route couleur de pierre
En capuchon vert et pointu,
Le petit bonhomme d'un air léger
Va à roulettes que veux-tu
Vers les mystères enneigés.
Il a sous sa cape fluorescente
Le vent d'hiver et les flocons du matin,
La mousse des bois et les brindilles gelées
Des moufles de nuages qui réchauffent les mains
Les secrets de la brume et des matins givrés.
J'y ai vu un langage secret dont une partie s'est effacée (est-ce un mauvais signe?) et qui signifie "Maison du bonheur".
RépondreSupprimerD comme dessin ici:http://laussibiencachee.blogspot.com/2009/10/pictogramme-secret.html
Bravo à Epamin' pour son commentaire
La neige t'inspire... Epamin '
RépondreSupprimerCharmant le poème !
Claire, je suis allée voir ton "hiéroglyphe moderne"...la ressemblance est en effet troublante !
RépondreSupprimerNe manque que le sourire...
Allez, je le rajoute ! (dessous)
Merci à vous deux pour les gentils compliments!
RépondreSupprimerc'est Mélusine , vêtue de vert , qui, malgré la neige , nous montre le chemin des prochaines priries..
RépondreSupprimerJ'opte pour une bécassine extra-terrestre !
RépondreSupprimerCe petit dessin me fait faire un grand bon en arrière ; un peu après la guerre, bon nombre d' enfants, en hiver, portaient par dessus leurs habits d'écoliers, une cape, coupée dans les couvertures de laine bleu-marine ou kaki de l'armée. Quant il faisait bien froid, et que nos genoux nus avaient des teintes violacées (c'était rigolo d'appuyer son pouce pour faire un rond tout blanc sur la peau), il suffisait de s'accroupir et nous nous trouvions bien au chaud dans notre cape qui nous servait de tente.
RépondreSupprimerun mutant muté
RépondreSupprimerprovenant
de la planète zOrk ?
-O)
Je t'envoie un sourire et un petit clin d'oeil!A la prochaine
RépondreSupprimerMélusine cachant le printemps sous sa cape, écolier joyeux ou maison du bonheur au grand sourire, écolier d'après-guerre aux genoux violacés, bécassine extra-terrestre ou mutant de la planète Zork...
RépondreSupprimerMerci pour vos idées "dé-capantes" !
Ce petit lutin vous a bien joliment inspirés...qu'il en soit remercié !
Je vote pour les lutins fluorescents... c'est l'explication qui m'est tout de suite venue à l'esprit !
RépondreSupprimerOui, moi aussi...
RépondreSupprimerUn L.G.M. peut-être...(lutin génétiquement modifié) qui serait visible la nuit ?
Ou alors, un petit lutin coquin, qui, juste avant la Saint-Valentin ne penserait qu'à "lutiner" ?