Aux mains des égorgeurs
En carcan de haine
Qui déciment les corps innocents
Puis s'échappant comme l'eau
De toute emprise
La liberté jaillit
Hors du joug des violences
Et des hantises du temps.
Mais qui ramènera
Des contrées
De l'ombre et des glaives
Ces vies interrompues
Aux lisières de nos vies.
Andrée Chedid
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Magnifique poème.
RépondreSupprimerLes mots justes - comme toujours pour cette grande dame!
RépondreSupprimerIl n'y a rien à ajouter !
RépondreSupprimerQue c'est beau ! Merci.
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