jeudi 19 mars 2015

SANS COURIR

photo personnelle

Croire à l'espace plus qu'à l'aile.
Ainsi, sans courir après rien,
on possède tout.
Les choses fuient celui qui les cherche,
elles viennent à celui qui ne bouge pas.
.
Gustave Thibon
"L'ignorance étoilée"

10 commentaires:

  1. Larus qui sème sème à tout vent...? :-)

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    1. Feu et vent, vent et feu... ?

      Yi King — 37. Kia Jen / La Famille (le Clan)

      Le vent sort du feu :
      Image de la FAMILLE.
      Ainsi l'homme noble possède la substance dans ses paroles et la durée dans sa conduite.
      La chaleur crée de la force; telle est la signification du vent qui sort du feu sous forme de flamme. C'est l'influence agissant de l'intérieur vers l'extérieur.
      http://wengu.tartarie.com/wg/wengu.php?l=Yijing&lang=fr&no=37

      Amezeg :-)

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    2. En fait, les mots disent tout : "famille" commence comme"femme" et "femme" est tout proche de "flamme" !
      La femme est celle qui entretient la "flamme" du foyer, qui reste tranquille, ne s'agite pas trop ...Flamme sans "l", elle ne "court" pas... et reçoit tout ...:-)

      (Cf photo et citation)

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  2. c'est quand on ne cherche plus qu'on trouve

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  3. Le titre est sublime : "L'ignorance étoilée...".. J'adore ! Je vais le graver dans ma mémoire :-)

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  4. Oui, je trouve aussi que c'est très beau...
    Quelques pensées profondes , quelques étoiles...quelques "petites lumières" dans la grande nuit de l'ignorance... :-)

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  5. Le code demandé pour la publication de mon précédent commentaire a retenu mon attention. C’était : " ionRa ".
    Je lis sur Wikipedia : « Le mot « ion » a été formé en 1834 par le physicien anglais Michael Faraday par emprunt au grec ancien ἰόν (ion), se traduisant par « allant, qui va », participe présent neutre du verbe ἰέναι « aller »
    J’en déduis que ionRa peut se comprendre : soleil ou feu qui va son chemin, qui se diffuse ; diffusion du feu d’un foyer vers un futur foyer, dissémination du feu passant d’un porteur de feu à l’être qui deviendra à son tour porteur de ce feu.

    Oui, le féminin en chaque " homme noble ", en chaque être qui connaît la valeur du féminin et du masculin et cultive l’union de ces deux en lui-même, est la part réceptive dont la part active ne saurait se passer...et réciproquement le réceptif (yin) ne saurait se passer de l’actif (yang) pour être véritablement fécond.. :-)

    Amezeg

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  6. Etienne Perrot acquiescerait, je pense, à ce que tu dis (transmission du feu) et j'acquiesce aussi vivement à la deuxième partie !

    Il y a des associations "flamboyantes"... :-)

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