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le Féminin sera le dernier recours
pour une profonde mutation de notre société. -
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Pierre Rabhi
"Conscience et environnement"
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"Conscience et environnement"
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Les éléments masculins sont l’action, la pensée rationnelle,
l’audace, la compétition, jusqu’à l’agressivité ;
l’audace, la compétition, jusqu’à l’agressivité ;
les éléments féminins sont la pensée intuitive,
la patience, l’amour, l’empathie.
la patience, l’amour, l’empathie.
Ces deux pôles doivent être équilibrés et unis
pour que l’être atteigne l’épanouissement.
Depuis des siècles, la société occidentale favorise
traditionnellement le côté masculin
et valorise de façon excessive l’action,
la compétition, la pensée rationnelle…
la compétition, la pensée rationnelle…
Les occidentaux ont généralement du mal
à réconcilier les contraires
à réconcilier les contraires
- lumière et obscurité, bien et mal, gain et perte -,
et sont également mal à l’aise
vis-à-vis de la bi-polarité masculin/féminin en eux.
Les sagesses orientales au contraire sont basées
sur le principe de la polarité des contraires :
les opposés sont différents aspects du même phénomène.
Aujourd’hui, le principe féminin est de plus en plus exilé
d’un monde dominé par la violence, l’agressivité,
la colère, l’égoïsme,
la colère, l’égoïsme,
au cours de l’histoire jusqu’à aujourd’hui,
illustre également ce déséquilibre.
Les hommes sont encore réticents à comprendre,
accepter et reconnaître comme il convient
les femmes et l’aspect féminin de la vie.
accepter et reconnaître comme il convient
les femmes et l’aspect féminin de la vie.
La place faite aux femmes et les entraves
que leur ont imposées les hommes
dans de nombreuses sociétés
dans de nombreuses sociétés
traduisent cette incompréhension.
Souvent, les hommes se considèrent
comme supérieurs aux femmes
comme supérieurs aux femmes
à la fois physiquement et intellectuellement,
et même dans les pays matériellement développés,
les femmes sont le plus souvent refoulées au second plan
lorsqu’il s’agit de partager le pouvoir politique.
Ainsi, dans notre monde, les femmes,
et aussi l’aspect féminin contenu en tout homme,
ont été entravées :
les hommes, tout autant que les femmes, en souffrent.
Petit Scarabée,bipolaires nous sommes.
RépondreSupprimerun homme sans une femme n'est rien une femme sans un homme n'est rien l'homme a certes plus de force physique que la femme, la femme peut être plus de force morale et il faut les deux pour faire un monde les deux se complètent
RépondreSupprimerBon résumé ! :-)
Supprimer.......de plus en plus contente d'être une nana, moi !
RépondreSupprimer;-)
Merci pour ce texte qui touche à un point essentiel pour notre présent et notre devenir. Attention à ne pas confondre féminin et femme, masculin et homme. La grande découverte de Jung, c'est que chaque homme a du féminin en lui, et chaque femme du masculin en elle. C'est la mesure dans laquelle nous, femmes et hommes (et avec certainement une prééminence des femmes) sauront changer de logique et permettre au Féminin de se manifester dans nos vies et sur la planète, qui sera déterminante. Et nous aurons alors enfin la possibilité d'être des êtres humains complets.
RépondreSupprimerMerci de repréciser la différence entre les deux...
RépondreSupprimerJ'aime bien que ce soit un homme (Pierre Rabhi), qui rappelle l'importance du Féminin...
Sinon cela passe pour du féminisme...alors qu'il s'agit de tout autre chose.
Equilibre en tout. Le yin et le yang. Chacune des ses vibrations a ses vertus. J'aime bien mon côté Ynn: sensibilité, réceptivité, création.
RépondreSupprimerle yoga est très intéressant en ce sens car on peut cultiver les deux facettes d'un individu.
Oui, c'est l'alliance dynamique du yin et du yang qui crée l'équilibre...et le yoga doit sûrement permettre de ressentir cela...
SupprimerUn "côté" n'est évidemment pas supérieur à l'autre...mais étant donné que la balance penche très fort du côté du masculin et cela depuis très très longtemps, c'est avant tout la valeur du "féminin" qu'il faut retrouver pour l'instant...ainsi qu'un "masculin" plus positif et moins "agressif"...
Amitiés.