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La nuit n'est jamais complète.
Il y a toujours puisque je le dis,
puisque je l'affirme,
au bout du chagrin,
une fenêtre ouverte,
une fenêtre éclairée.
Il y a toujours un rêve qui veille,
désir à combler, faim à satisfaire,
un cœur généreux,
une main tendue, une main ouverte,
des yeux attentifs,
une vie : la vie à se partager.
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Paul Eluard
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Cet appel pathétique ne peut rester sans réponse...
RépondreSupprimerUn beau poème d'espoir. N'oublions pas de tendre la main. Et un simple sourire? Cela peut faire du bien.
RépondreSupprimerC'est un poème qui me touche...depuis toujours ! :-)
RépondreSupprimerun jour au bout d'un rêve j'ai entendu ces mots, je te donne la main, ou était-ce l'âme un ? En fait c'était les deux.
RépondreSupprimerAlors mon vœux que chaque un soit l'âme un dans la main :)