photo personnelle
Notre pouvoir ne réside pas
dans notre capacité à refaire le monde,
mais dans notre habileté à nous recréer nous-même.
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Gandhi
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Quand nous acceptons nos métamorphoses intérieures,
nous cessons d'être aveugles
à l'immensité qui s'ouvre devant nous.
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Vernon Howard
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Tu élèves les papillons????? Et tu ne le disais pas?
RépondreSupprimerMaximes et photos très belles! Bon lundi!
La nature de ces métamorphoses, de ces recréations de nous-mêmes, semblent donner pouvoir à cette immensité qui nous dépasse, comme en témoigne Étienne Perrot dans ces deux méditations que j'ai lues dans « Mystique de la terre » (chapitre XIV), éditions La fontaine de Pierre :
RépondreSupprimer« Quelle joie et quelle tranquillité de n'être rien que des réceptacles et des canaux, de n'être autre chose que des tuyaux creux où l'Artiste divin souffle pour produire sa musique, incantation et magie faisant régner l'ordre dans le chaos et charmant les fauves, comme le faisait Orphée! Mais pour que la musique passe, il a fallu que le tuyau se vide. Pour qu'il se vide, il a fallu le creuser. Telle a été l'œuvre de l'artiste lui-même. Ce creusement s'est fait au creuset, lieu du « supplice de la matière » tourmentée - disent les livres - par le feu secret. » - 24 janvier 1986 –
« L'homme est roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Et ce n'est pas tout: si l'on coupe ce roseau, il peut devenir un roseau chantant, un pipeau. Il suffit pour cela que l'artiste le débouche en le nettoyant et en le vidant de sa moelle. Alors le souffle passe par lui et se change en mélodie. Comme ce souffle est celui de l'Artiste souverain, on donne parfois à l'instrument le nom de kami¬kaze, ce qui veut dire « Vent de Dieu ». - 13 mars 1987 –
Amezeg
Ces mots, ces images, ces billets... sont magnifiques ! Merci pour ces instants de pur plaisir, à regarder, lire... et méditer !
RépondreSupprimerBelle semaine à toi, amie Licorne...
Bises,
NiNa-Lou
Epamin', je n'élève pas de papillons...mais j'adore les regarder ! :-)
RépondreSupprimerLes photos sont prises dans une grande "serre" ...
Amezeg, ce passage sur le "roseau évidé" me parle beaucoup...et je crois que nous avons les mêmes lectures ! ;-)
RépondreSupprimerNina-Lou, quand je veux voir de belles images très reposantes...sais-tu ce que je fais ?
RépondreSupprimerJe vais chez toi, sur ton blog....:-)
magnifiques, tes hortensias !
Si j'en juge d'après la teneur de vos billets, mes lectures sont bien moins nombreuses et bien moins variées que les vôtres. Je ne suis toutefois pas trop surpris que nous en partagions quelques unes, dont celle d'E.P., et pour tout vous dire, nous partageons peut-être un certain intérêt pour les licornes : il n'y a quelques semaines j'ai eu la surprise de donner forme à un spécimen pictural original de cette espèce rare que je pourrais donc dire en voie d'apparition sous mon ciel... :-)
RépondreSupprimerAmezeg
Ah, ah...tu as dessiné une jolie licorne ? Très intéressant ...
RépondreSupprimerQuant aux lectures, je dois avouer que, pendant une dizaine d'années, je me suis presque quotidiennement "nourrie" des livres de Jung, E.Perrot et M-L Von Franz et que cela m'a énormément aidée à progresser dans la connaissance de moi-même et de l'être humain (parallèlement, j'ai passé beaucoup de temps à étudier mes rêves -nocturnes-).
Je suis maintenant passée à "autre chose", à d'autres lectures, mais cela reste pour moi une "base"...
Trois auteurs qui ont également longuement peuplé mon quotidien et ne l'ont pas déserté à ce jour. Il semblerait donc que nous ayons bu à la même source, que nous nous soyons rafraîchis à la même fontaine... dont je goûte toujours l'onde claire et apaisante.
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