Il est douloureux d'éclore à soi. Pour ceux qui nous entourent aussi. Cette nécessité du "sauve-qui-peut" résonne comme un cri... celui auquel je pense a l'image de celui de Munch. "Les chambres intérieures de l'âme sont comme la chambre noire du photographe. On ne peut y séjourner longtemps, sinon cela devient la cellule du névrosé." Anaïs Nin
Leeloo, je crois que la douleur et l'angoisse (qui a un rapport avec le fait de se sentir "trop à l'étroit") est à la fois ce qui nous bloque et ce qui nous pousse à réagir...il y a un moment où la souffrance étant allée assez loin, par réaction, nous "osons" sortir de notre chambre "noire"... mais cela demande, c'est sûr, un certain courage, le courage d'abandonner notre cocon "enfermant" mais qui nous donne une illusion de sécurité... La névrose est la période où nous souffrons et où nous "n'osons" pas encore...
Tout à fait ! Sentir cela pour fendre la coquille, l'armure qui nous empêche de goûter pleinement la vie...
RépondreSupprimerIl est douloureux d'éclore à soi.
RépondreSupprimerPour ceux qui nous entourent aussi.
Cette nécessité du "sauve-qui-peut" résonne comme un cri... celui auquel je pense a l'image de celui de Munch.
"Les chambres intérieures de l'âme sont comme la chambre noire du photographe. On ne peut y séjourner longtemps, sinon cela devient la cellule du névrosé." Anaïs Nin
Le risque à prendre si l'on veut vivre pleinement.
RépondreSupprimerRoger
Leeloo, je crois que la douleur et l'angoisse (qui a un rapport avec le fait de se sentir "trop à l'étroit") est à la fois ce qui nous bloque et ce qui nous pousse à réagir...il y a un moment où la souffrance étant allée assez loin, par réaction, nous "osons" sortir de notre chambre "noire"... mais cela demande, c'est sûr, un certain courage, le courage d'abandonner notre cocon "enfermant" mais qui nous donne une illusion de sécurité...
RépondreSupprimerLa névrose est la période où nous souffrons et où nous "n'osons" pas encore...
Merci La Licorne...
RépondreSupprimer