Et si tout notre monde moderne
était basé sur une énorme méprise ?
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Sur le "toujours plus",
sur le "règne de la quantité",
alors qu'au fond,
nous n'avons soif que de "qualité" ?
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Sur le règne de l"artificiel",
alors que seul le "naturel"
a le pouvoir de nous désaltérer ?
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La Licorne
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La Licorne
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« [...] ce que l'immense majorité des hommes actuels célèbrent comme un "progrès", c'est là précisément ce qui nous apparaît tout au contraire comme une profonde déchéance, car ce ne sont manifestement que les effets du mouvement de chute, sans cesse accéléré, qui entraîne l'humanité moderne vers les "bas-fonds" où règne la quantité pure. »
RépondreSupprimerRené Guénon in « Le règne de la quantité et les signes des temps »
Le soi-disant "progrès" et le matérialisme nous entraînent effectivement bien bas, bien bas...car ils ne tiennent compte que de la "partie visible" du monde et de l'humanité et nient l'autre part, invisible, qui est notre meilleure part, notre part indestructible.
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