Si toute l'humanité grouillante des cités déferlait sur nos campagnes ce serait l'enfer garanti. Une seule famille de citadins dans un hameau paisible, c'est déjà difficile à supporter tant les moeurs des uns et des autres diffèrent.
Ce ne sont pas les citadins qui posent problème...mais les villes elles-même. Car je crois, comme Rousseau ( sans toutefois retourner au mythe du "bon sauvage"), que l'être humain a besoin, vitalement, d'espace et de grand air...et surtout d'un contact quotidien avec les éléments naturels.
Si toute l'humanité grouillante des cités déferlait sur nos campagnes ce serait l'enfer garanti. Une seule famille de citadins dans un hameau paisible, c'est déjà difficile à supporter tant les moeurs des uns et des autres diffèrent.
RépondreSupprimerCe ne sont pas les citadins qui posent problème...mais les villes elles-même.
RépondreSupprimerCar je crois, comme Rousseau ( sans toutefois retourner au mythe du "bon sauvage"), que l'être humain a besoin, vitalement, d'espace et de grand air...et surtout d'un contact quotidien avec les éléments naturels.