Le seul endroit où j'ai vu le ciel parcouru de câbles,de cette façon, c'est au Centre de Détention de ma ville. A chaque fois que je m'y rendais pour travailler avec les détenus de longue peine, mes yeux se levaient vers ce seul espace de liberté proposé à leurs yeux et aussi harnaché pour éviter les évasions en hélicoptère. Difficile d'y trouver une seule trace de poésie,tu vois. Roger
"Le vrai sacrilège: se fermer à la vie."
"Le vrai sacrilège: se fermer à la vie."
Qu'est ce que c'est ? Une serre ?
RépondreSupprimerNon...un futur champ de houblon !
RépondreSupprimerles houblons en camps de concentration ...et tout le monde s'en fout!! :-/
RépondreSupprimerBen...tout le monde sait que, de toute façon, ils n'échapperont pas à la "mise en bière"... :-))
RépondreSupprimerça mousse , tous ces commentaires!
RépondreSupprimerLe seul endroit où j'ai vu le ciel parcouru de câbles,de cette façon, c'est au Centre de Détention de ma ville. A chaque fois que je m'y rendais pour travailler avec les détenus de longue peine, mes yeux se levaient vers ce seul espace de liberté proposé à leurs yeux et aussi harnaché pour éviter les évasions en hélicoptère. Difficile d'y trouver une seule trace de poésie,tu vois.
RépondreSupprimerRoger
C'est bien aussi une impression de "prison" que j'ai eu en passant devant ce champ, une prison qui va jusqu'à l'horizon...
RépondreSupprimerC'est pas possible, on peu pas mettre le houblon en cage....je suis désespéré -)
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