certes les noms gravés sont vieux comme les mots et la parole... mais faut-il pour autant admirer ces débordements qui défigurent souvent certains murs ? je trouve que l'idée d'Hubert, graver dans le sable ou la neige, admettre la fugacité de nos enthousiasmes, admettre la fragilité de nos mots, c'est pas mal non plus !
Oui, Michelaise... Si l'on peut admirer le talent de ceux qui créent et réalisent ces "graffitis artistiques", on ne peut que déplorer qu'ils les inscrivent sur des murs qui ne leur appartiennent pas ! Il s'agit alors d'un manque de respect pour le bien d'autrui et pour le "bien commun" (qui est, bien sûr, le contraire du "Mal propre").
J'écrit ton nom... liberté ! On a aussi retrouvé des graffitis sur les colosses de Memnons (?) , en Egypte, gravés là par ce qui semble avoir été des mercenaire engagés par des pharaons. Gravés dans la pierre, éternel ! A l'époque, on a certainement crié au scandale, vous pensez, graver des mots * étrangers* sur les représentations immenses, de pharaon. Je n'encourage pas, mais ceux-ci ont traversés les siècles.
certes les noms gravés sont vieux comme les mots et la parole... mais faut-il pour autant admirer ces débordements qui défigurent souvent certains murs ? je trouve que l'idée d'Hubert, graver dans le sable ou la neige, admettre la fugacité de nos enthousiasmes, admettre la fragilité de nos mots, c'est pas mal non plus !
RépondreSupprimerOui, Michelaise...
RépondreSupprimerSi l'on peut admirer le talent de ceux qui créent et réalisent ces "graffitis artistiques", on ne peut que déplorer qu'ils les inscrivent sur des murs qui ne leur appartiennent pas !
Il s'agit alors d'un manque de respect pour le bien d'autrui et pour le "bien commun" (qui est, bien sûr, le contraire du "Mal propre").
J'écrit ton nom... liberté ! On a aussi retrouvé des graffitis sur les colosses de Memnons (?) , en Egypte, gravés là par ce qui semble avoir été des mercenaire engagés par des pharaons. Gravés dans la pierre, éternel ! A l'époque, on a certainement crié au scandale, vous pensez, graver des mots * étrangers* sur les représentations immenses, de pharaon. Je n'encourage pas, mais ceux-ci ont traversés les siècles.
RépondreSupprimerMerci Béatrice, je ne connaissais pas ces détails sur les "graffitis" égyptiens !
RépondreSupprimerEncore plus ancien que je le pensais, alors, l'art du "tag" !