mardi 23 août 2011

ECLOSION

photo personnelle


Vint un temps où le risque
de rester à l'étroit dans un bourgeon
était plus douloureux que le risque d’éclore.
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Anaïs Nin
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5 commentaires:

  1. Tout à fait ! Sentir cela pour fendre la coquille, l'armure qui nous empêche de goûter pleinement la vie...

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  2. Il est douloureux d'éclore à soi.
    Pour ceux qui nous entourent aussi.
    Cette nécessité du "sauve-qui-peut" résonne comme un cri... celui auquel je pense a l'image de celui de Munch.
    "Les chambres intérieures de l'âme sont comme la chambre noire du photographe. On ne peut y séjourner longtemps, sinon cela devient la cellule du névrosé." Anaïs Nin

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  3. Le risque à prendre si l'on veut vivre pleinement.

    Roger

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  4. Leeloo, je crois que la douleur et l'angoisse (qui a un rapport avec le fait de se sentir "trop à l'étroit") est à la fois ce qui nous bloque et ce qui nous pousse à réagir...il y a un moment où la souffrance étant allée assez loin, par réaction, nous "osons" sortir de notre chambre "noire"... mais cela demande, c'est sûr, un certain courage, le courage d'abandonner notre cocon "enfermant" mais qui nous donne une illusion de sécurité...
    La névrose est la période où nous souffrons et où nous "n'osons" pas encore...

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